Il fait chaud. Le fenetre est ouverte, mais pas un souffle d’air ne rentre dans la piece. Les feuilles des arbustes plantes juste derriere sont immobiles. Pas un souffle de vent. Le ciel est blanchatre, uni et cotonneux. Une nouvelle goutte de sueur apparait sur mon front. L’air humide ne l’attire aucunement, elle prefere couler doucement le long de ma tempe, elle atteint l’extremite de mon menton, perd son equilibre et vient s’ecraser sur ma feuilles de resultats qui peine a se remplir aujourd’hui...
my kitchen: COWBOY COOKIES
Il y a 3 semaines
1 commentaire:
et te voilà parti pour nous réécrire l'étranger de Camus ...
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