Notre cher général est en Chine pour une semaine, il est actuellement à Pékin, puis filera à Wuhan avant de finir à Shanghai. Il n’est pas venu seul, E. Crépon responsable des relations extérieures de l’école et Le Tallec, professeur emblématique de l’école et co-fondateur d’un nouveau master Paris-Tech ont tous trois fait le déplacement. Rejoint par P. Carradec responsable des programmes Paris-Tech en Chine que nous avions déjà rencontrés en début d’année, ils font le tour des grandes universités du pays afin de relancer la coopération avec l’école Polytechnique.
Mardi matin, cette délégation était reçue à Tsinghua, notamment par la vice-présidente de l’université (陈旭), la responsable des relations extérieures, et deux représentants de département : celui d’Aerospace et l’INET (Institut du nucléaire et nouvelles énergies). Cela n’avait aucun lien avec le fait que ces deux départements soient respectivement celui d’Antoine et le mien. D’ailleurs à peu près personne à Tsinghua ne fait réellement attention aux étrangers (seul le nombre les intéresse), alors de là à ce qu’ils sachent que 2 petits Français viennent de Politic School, heu, Polytechnic… Mais bon par miracle, je suis rentré dans le bureau d’une petite dame responsable de ces nouvelles coopérations la semaine dernière et ai donc été invité à me joindre à leur entrevue.
Intéressante, absolument pas, instructive peut-être. Il ne s’est en fait rien passé durant la rencontre entre le général et la vice-présidente de Tsinghua. On s’échange des politesses, du coté Français on tente de se rappeler combien il y a de Chinois à Polytechnique ou Paris Tech, du coté Chinois c’est même pas la peine, mais on est fier d’annoncer 30 000 étudiants dans l’université. Le niveau d’Anglais, médiocre dans les 2 camps résultait en de nombreux blancs, alors petits sourires, petits rires pour combler. Puis on échange deux trois phrases en disant qu’on aimerait développer des coopérations avec les deux départements susnommés, mais rien de précis, de toute manière, ce n’est pas l’enjeu de l’entrevue. On préfère dire que le campus est magnifique, qu’on y reviendrait bien tous les jours, et que la partie Chinoise est la bienvenue en France, ça leur permettra peut-être de savoir un tout petit peu plus ce qu’est Polytechnique.
En soirée, élèves et anciens élèves, nous étions conviés à un dîner (au South beauty, certains connaissent), un de ces rassemblements sectaires ou le pauvre P. Carradec devait se sentir bien seul… Parmi les anciens, certains bossent dans le Telecom, d’autres dans une agence de voyage par internet, d’autres encore à l’ambassade. Malgré tout, ce diner ne fut pas des plus excitants, malgré une amusante bataille de bière lancée par le général…
Mardi matin, cette délégation était reçue à Tsinghua, notamment par la vice-présidente de l’université (陈旭), la responsable des relations extérieures, et deux représentants de département : celui d’Aerospace et l’INET (Institut du nucléaire et nouvelles énergies). Cela n’avait aucun lien avec le fait que ces deux départements soient respectivement celui d’Antoine et le mien. D’ailleurs à peu près personne à Tsinghua ne fait réellement attention aux étrangers (seul le nombre les intéresse), alors de là à ce qu’ils sachent que 2 petits Français viennent de Politic School, heu, Polytechnic… Mais bon par miracle, je suis rentré dans le bureau d’une petite dame responsable de ces nouvelles coopérations la semaine dernière et ai donc été invité à me joindre à leur entrevue.
Intéressante, absolument pas, instructive peut-être. Il ne s’est en fait rien passé durant la rencontre entre le général et la vice-présidente de Tsinghua. On s’échange des politesses, du coté Français on tente de se rappeler combien il y a de Chinois à Polytechnique ou Paris Tech, du coté Chinois c’est même pas la peine, mais on est fier d’annoncer 30 000 étudiants dans l’université. Le niveau d’Anglais, médiocre dans les 2 camps résultait en de nombreux blancs, alors petits sourires, petits rires pour combler. Puis on échange deux trois phrases en disant qu’on aimerait développer des coopérations avec les deux départements susnommés, mais rien de précis, de toute manière, ce n’est pas l’enjeu de l’entrevue. On préfère dire que le campus est magnifique, qu’on y reviendrait bien tous les jours, et que la partie Chinoise est la bienvenue en France, ça leur permettra peut-être de savoir un tout petit peu plus ce qu’est Polytechnique.
En soirée, élèves et anciens élèves, nous étions conviés à un dîner (au South beauty, certains connaissent), un de ces rassemblements sectaires ou le pauvre P. Carradec devait se sentir bien seul… Parmi les anciens, certains bossent dans le Telecom, d’autres dans une agence de voyage par internet, d’autres encore à l’ambassade. Malgré tout, ce diner ne fut pas des plus excitants, malgré une amusante bataille de bière lancée par le général…
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